Les artistes 2024

Également passionnée par le spectacle vivant, Clémence est aujourd’hui impliquée dans différentes créations telles que Qui-Vive !, un opéra baroque-électro avec la Compagnie Rassegna, ainsi que Lubulus et Alaïs, un spectacle jeune public produit par les JMFrance, en duo avec la percussionniste Lou Renaud-Bailly.

Clémence fait ses débuts à l’opéra dans le rôle de Diane dans Actéon de Charpentier au CNSMD de Lyon, puis celui de Didon dans Dido Furens de Mazzocchi avec l’ensemble la Nébuleuse. Récemment, elle se produit dans les chœurs et le rôle de la seconde guerrière dans David et Jonathas de Charpentier avec l’ensemble Correspondances.

Maîtrisant clavecin, orgue, pianoforte et clavicorde, elle se produit dans divers festivals  tels que Mars en Baroque, Sinfonia en Périgord ou le Festival du Périgord Noir, les Rencontre Culturelles d’Usson et Par-Quatre-Chemins en Auvergne où elle tourne un récital de clavecin autour de J-S. Bach en 2020.

Parallèlement à son activité de concertiste, elle est régulièrement sollicitée comme accompagnatrice au CNSMD de Lyon et au CMBV de Versailles. Elle est accompagnatrice du CRR de Grand Besançon et de l’ESM de Bourgogne-Franche-Comté.

Elle développe en outre sa passion pour les arts manuels et crée des rosaces pour son ami le facteur de clavecin Emile Jobin.

Anne-Catherine Vinay a travaillé sous la direction de Marc Minkowsky, Franz Brüggen, Christophe Coin, Paul Mc Creesh, Laurence Cummings, Jean-Claude Malgoire, Enrico Onofri, Ton Koopman avec l’Orchestre Philharmonique de Radio-France, l’Orchestre National de Lyon, l’Orchestre d’Auvergne pour le répertoire classique et contemporain.
Elle est membre fondateur de l’ensemble Unisoni et joue tant en France qu’à l’étranger
Titulaire du CA de Musique Ancienne, Anne-Catherine Vinay enseigne en tant que Chef de chant – Claveciniste au CNSMD de Lyon depuis 1992.

Par ailleurs, il est lauréat de concours prestigieux. En 2018, il obtient le deuxième prix du Concours International Yehudi Menuhin, ainsi que le prix des auditeurs Internet, le prix de la pièce contemporaine composée pour le concours, et le prix « Talent exceptionnel ». Il avait auparavant obtenu le premier prix du concours international Ludwig Spohr de Weimar en 2013, le deuxième prix au concours international de violon de Mirecourt en 2014 et des prix aux concours Rodolfo Lipizer et Ginette Neveu en 2015. Ces distinctions lui ont permis d’être invité à se produire en tant que soliste avec des orchestres tels que la Staatskapelle de Weimar, l’Orchestre de l’Opéra national de Lorraine, l’Orchestre de Dijon-Bourgogne, le London Philharmonic Orchestra et dernièrement l’Orchestre de l’Opéra de Massy. Musicien réputé et apprécié, Nathan se produit dans de nombreux festivals, tels que le Gstaad Menuhin Festival, le Festival des Arcs, ainsi que le Festival Radio France de Montpellier-Occitanie, et dans certaines des plus belles salles européennes de la musique classique, comme le Wigmore Hall à Londres, le Victoria Hall à Genève ou encore l’Auditorium de Radio France à Paris.

Il a eu l’occasion de partager la scène avec de grands artistes, comme Régis Pasquier, Kirill Gerstein, Shekku Kanneh-Mason, Anna Vinnitskaya, Sarah Nemtanu, Adrien La Marca, Roland Pidoux, Michel Dalberto, Henri Demarquette mais aussi avec de grands ensembles, tels que le Quatuor Modigliani ainsi qu’avec des membres du Quatuor Belcea. Pour approfondir son exploration de la musique de chambre, il crée en 2015 le quatuor Gaïa, avec lequel il obtient son master de musique de chambre en 2019 dans la classe de Jean Sulen. Il rejoint en 2022 le trio Metral aux côtés de Laure-Hélène Michel et de Victor Metral.

Deux disques sont parus en 2023, l’un de Louis Vierne avec l’ensemble Le Déluge, et l’autre de Ravel et Chausson avec le trio Métral disponible sur fnac.com/Louis-Vierne et fnac.com/Trio-Metral. Nathan joue un violon de Stephan Von Baehr, spécialement conçu pour lui.

Désormais au coeur de la création contemporaine il côtoie et travaille pour les plus grands compositeurs de son temps tels Olivier Messiaen, Georgie Ligeti, Iannis Xénakis, Karlheinz Stockhausen, Luciano Berio, Steve Reich, Elliott Carter, Philippe Hurel, Phillipe Manoury, Marc-André Dalbavie, Franco Donatoni, Helmut Lachenmann…
avec les pianistes Pierre-Laurent Aimard, Maurizio Pollini, Roger Muraro, Bertrand Chamayou.
En 2001 il quitte l’Ensemble Intercontemporain pour continuer sa carrière de manière autonome. Fidèle à ses deux cultures et tout en continuant à servir les compositeurs contemporains, on le retrouve à la batterie ou aux percussions, sur scène ou en studio, avec les artistes de jazz et variété tels Charles Aznavour, Stéphane Grappelli, Toots Thielemans, Michel Legrand, Jean Claude Vannier, Bruno Coulais, Nicole Croisille, Nana Mouskouri, Julien Clerc, Lambert Wilson, Pascal Obispo, Le pianiste Cubain Roberto Fonseca ou encore dans des improvisations avec Michel Portal, dans le monde du rap avec le rappeur Kery James dont il co-écrit trois des titres de l’album culte : Si c’était à refaire.
Tout en continuant son parcours de percussionniste et batteur, Daniel Ciampolini compose des pièces de concert où la percussion tient un rôle important, écrit également de la musique à l’image pour des documentaires TV.
Jean-Christophe Maillot des Ballets de Monte-Carlo lui commande le final de son Ballet Choré.
Il est invité à plusieurs reprises sur France Musique par Jean-Pierre Derrien dans une série d’émission «Le Matin des musiciens » où il présente le rôle et l’importance de la percussion dans la création contemporaine du XX° et XXI° siècles.
Il fonde le Duo Resonantia, avec la pianiste Emmanuelle Jaspart, duo inédit dans la musique classique de par l’assemblage du Vibraphone avec le Piano, avec un premier CD sur les Gymnopédies et Gnossiennes d’Erik Satie.
Daniel Ciampolini a enseigné lors de Masters Classes ou dans des académies d’été : Montréal, Los Angeles, San Francisco, New-York, Taipei, Madrid, Helsinky, Tokyo…

La comédie musicale lui offre ses premiers grands rôles avec Le Passe-muraille de Michel Legrand et Chantons sous la Pluie, tous deux sacrés Molière du meilleur spectacle musical, mais aussi Barnum, Nymph Errant, Titanic The Musical dans une mise en scène de Jean-Louis Grinda ou la Perichole de Jérôme Savary.

“J’aime les chansons qui ont pu résonner à une certaine époque et qui résonnent différemment aujourd’hui, mais tout aussi fortement, dit­-elle. Je me considère comme passeuse, surtout pas passéiste !”

Isabelle Georges transmet avec une générosité sans limite tous les répertoires qui la touchent et la nourrissent, prête à toutes les expériences musicales, mais sensible à l’excellence plus qu’à la profusion. Elle apprivoise les grandes pages de la comédie musicale, comme de la chanson française, et met sa créativité au service de spectacles qu’elle imagine comme des rêves qui se réalisent : Une étoile et moi à Judy Garland, La French Touche, Padam Padam (l’inconnu dont le monde entier connait les chansons), Broadway en chanté, Du Shtetl à New York, Cabaret Terezin, Amour Amor, Happy End, Dorothée a Bikhele lider et Oh Là Là ! qui lui offre ses ‘New York debuts’ au légendaire 54 Below.

Pour Broadway Symphonique, Yiddish Rhapsody, C’est si bon ou Ève & Adam, sa toute nouvelle création pour orchestre et deux voix, Isabelle sollicite la participation d’orchestres symphoniques. Cet éventail de propositions lui permet de se produire dans des salles aussi différentes et prestigieuses que le Théâtre des Champs-Élysées et la Philharmonie à Paris, le Musikverein de Vienne, le Concertgebouw d’Amsterdam, les Festivals d’Édimbourg, d’Avignon ou encore le Festival Radio France Occitanie Montpellier, qui l’accueillent avec les différents complices de ses aventures musicales.

La force des rencontres

Dotée d’une foi inconditionnelle en l’autre, Isabelle n’avance pas seule, bonifiant les rencontres qu’elle fait au fil de son parcours : comme ses mentors le chorégraphe et pédagogue américain Matt Mattox et le chanteur Jean Salamero qui l’aident à trouver sa voix hors des circuits de formation conventionnels. Puis Frederik Steenbrink, chanteur et directeur musical, l’arrangeur Cyrille Lehn, le compositeur américain Maury Yeston, dont elle enregistre les December Songs, le pianiste de jazz René Urtreger avec lequel elle enregistre l’album Something To Live For, le groupe Sirba Octet, avec lequel elle crée Du Shtetl à New York & Yiddish Rhapsody, le pianiste Jeff Cohen pour  Vienne Paris Hollywood (hommage aux compositeurs juifs autrichiens forcés à l’exil par la barbarie nazie), l’accordéoniste Roland Romanelli, en compagnie duquel elle écrit Hâte-toi lentement, le concertiste, arrangeur et compositeur Bruno Fontaine avec lequel elle réalise l’album Isabelle Georges chante Bécaud et crée Ève & Adam, le Trio Zadig…

Isabelle a incarné Isadora Ducan dans la comédie musicale Isadora, femme danseuse et libre (m.e.s. Sébastien Rajon), Mrs C dans la première adaptation mondiale de la nouvelle de Stefan Zweig, 24 heures de la vie d’une femme (m.e.s. Franck Berthier) et Mademoiselle Hennebique dans L’ornithorynque (m.e.s. Daniel Colas). Elle vient de faire ses premiers pas devant la caméra, dans le rôle de Madame Fabian, pour la série américaine très attendue We Were The Lucky Ones, produite par 20th Century Fox Télévision.